AVEC LA FSU POUR LES DROITS DES AED et AESH

En votant FSU, battons-nous pour défendre nos droits et en conquérir de nouveaux.
Les AED et les AESH ont des droits. Leurs représentant·es élu·es à la CCP sont là pour les faire respecter. Licenciement, maladie, harcèlement, blâme, refus de temps partiel, de congé formation ou d’absence pour préparer un concours… : Les élu·es FSU accompagnent les collègues et interviennent. Par exemple en cas de non-renouvellement abusif, de conflit avec l'établissement ou le Pial, pour obtenir la prise en charge des frais de déplacement...
Les élu·es et militant·es de la FSU travaillent à vos côtés et partagent votre quotidien professionnel.
Pour la FSU, représenter les personnels, c’est contribuer à faire avancer les droits individuels et collectifs !

Notre profession de foi

 Pour des salaires décents ! 

Pour la FSU, les AED et les AESH doivent être rémunéré·es sur la base d’une grille de catégorie B revalorisée.

Cela doit garantir une progression régulière du traitement et reconnaître leur niveau de qualification. Nous exigeons que le salaire minimum dans la fonction publique soit porté à 1 850 € nets mensuels, et l’indexation du salaire sur les prix.
Grâce aux interventions de la FSU en CTM, le versement de l’indemnité REP/REP+ pour les AED et AESH est enfin prévue au budget 2023. La FSU se bat pour que les AED et les AESH aient droit au même taux que les autres personnels.

 AED 

Pour la reconnaissance des missions et contre la précarité.

Le recrutement des AED par les établissements est la principale cause de précarité. La FSU revendique le recrutement par les recteurs de tous les AED, y compris en CDD et que la possibilité de signer des contrats de trois ans soit donnée à celles et ceux qui le souhaitent. Le chantage au renouvellement doit cesser !
Améliorer les conditions de travail des AED est une nécessité. Leurs missions doivent être reconnues à leur juste valeur, pour le bien des élèves et le bon fonctionnement des établissements.
La FSU exige l’allègement du temps de travail de tous les AED pour permettre à celles et ceux qui le souhaitent de poursuivre leurs études. Le recrutement d’AED en nombre suffisant doit permettre à chacun·e d’exercer ses missions dans les meilleures conditions.

 AESH 

Pour un vrai statut et la fin des PIAL

Pour mettre fin aux temps partiels imposés et à des conditions de travail et de salaire indignes, la FSU exige la création d’un corps statutaire de catégorie B assurant une reconnaissance professionnelle, une perspective de carrière et une hausse de rémunération.
Les PIAL servent à camoufler le sous-investissement massif de l’État en matière de handicap alors que la loi de 2005 impose l’obligation de moyens. La FSU dénonce la mutualisation qui est devenue la norme avec le PIAL et dégrade la qualité de la scolarisation des élèves en situation de handicap et les conditions de travail des AESH et des enseignant·es. La FSU revendique l’abandon des PIAL et une politique d’inclusion centrée sur les besoins de l’élève.